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Bovins viande

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L'élevage bovins viande en Deux-Sèvres

Le département des Deux-Sèvres compte, en 2020, 98 218 vaches nourrices, sur 1 715 exploitations,  soit 12% des effectifs de la Nouvelle-Aquitaine. Il se place derrière la Creuse (169 831 vaches), puis la Haute-Vienne (131 036 vaches), et la Corrèze (126311 vaches).
Cependant, les entreprises d’abattages, développées sur notre territoire, permet au Deux-Sèvres d’être le département produisant le plus de viande bovine finie avec 37 471 tec (tonne équivalent carcasse en 2019 (20% de la production régionale).

>> Voir le détail de la filière viande bovine en Deux-Sèvres

 

 

Les repères technico-économiques

Les élevages Bovins viande des Deux-Sèvres font partie du réseau de'une centaine de fermes de références, Inosys en Pays de la Loire, Deux-Sèvres

Les données de ces exploitations participent à l'élaboration de références technico-économiques réalisées et diffusées par les Chambres d'agriculture et l'institut de l'élevage et utilisées pour construire les projets d'installation, élaborer les études économiques, comparer son élevage pour progresser.

 

 

Améliorer le travail en élevages Bovins Viande

La Chambre régionale d'agriculture des Pays de la Loire a mis au point un auto-diagnostic sur le travail qui permet aux éleveurs de bovins viande de faire un état de leur temps de travail et d'initier une réflexion pour faire évoluer la situation.

Le document comporte deux séries d'une dizaine de questions chacune : l’une sur le travail en général et l’autre sur le fonctionnement de l'atelier bovin viande. Le total des points obtenus renseigne l'éleveur sur sa situation.

Pour aller plus loin, l'outil offre la possibilité de consulter 11 fiches solutionset/ou de contacter un conseiller spécialisé travail et/ou viande bovine. L'éleveur pourra alors situer son exploitation par rapport à des références et identifier des pistes d’amélioration adaptées à sa situation et à ses aspirations.

 

 

Augmenter le pâturage : un levier pour améliorer le revenu des éleveurs bovins viande

Dans le contexte pédoclimatique, environnemental et socio-économique des Pays de la Loire et des Deux-Sèvres, les éleveurs s’interrogent sur la conduite du troupeau en lien avec le système fourrager : part du maïs ensilage, de l’herbe plus ou moins pâturée et des légumineuses. Cela influence fortement les pratiques et la rentabilité de l’exploitation.

Dans l'Ouest renouvellement élevé et génisses lourdes améliorent le revenu

Renouvellement élevé et génisses lourdesaméliorent le revenu dans le fonctionnement du cheptel, beaucoup d'éleveurs se posent la question du taux de renouvellement et de la valorisation des génisses restantes.
Cette étude montre que la rentabilité se dégrade selon 2 axes:
- la diminution du taux de renouvellement,
- la baisse de l'âge à la vente des génisses.

Contact

Pascal BISSON - Chambre d’agriculture des Deux-Sèvres - 05 49 77 15 15



 

 

Tableau de bord en Vaches allaitantes

Ce document reprend les données des tableaux de bord concernant les élevages en Deux-Sèvres en races salers, limousine, charolaise, rouge des prés, parthenaise et blonde d’aquitaine ayant des vaches allaitantes. L’analyse porte sur les 3 dernières années comparées aux moyennes raciales et quarts supérieurs de la dernière campagne de vêlages. En raison du changement de tableau de bord, l’analyse est plus complète dans certains domaines.

L'IVV, l'âge au premier vêlage, le nombre de veaux vivants à 120 jours expliquent une grande partie de la productivité du troupeau. La quantité de viande produite et la maîtrise des charges sont des éléments essentiels de la rentabilité de l’exploitation.